Livres et revues :
Pour survoler cette problématique du coût de l’immigration, nos auditeurs pourront se référer aux articles et analyses publiées sur des sites comme ceux de la Fondation Polémia (http://www.polemia.com/), de Novopress(http://fr.novopress.info/) ou de Fdesouche (http://www.fdesouche.com/), pour ne citer que ceux-là.
Au sujet de
Jean Parvulesco dont on trouvera des éléments bio-bibliographiques sur la page Wikipedia (
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Parvulesco), les auditeurs intéressés par cette personnalité singulière pourront lire plusieurs textes ou entretiens :
– Article tiré du site Mécanopolis sur Parvulesco, dont la vidéo extraite du film de Jean-Luc Godard, A bout de souffledans lequel le rôle de Jean Parvulesco est tenu par une grande figure du cinéma français, le réalisateur Jean-Pierre Melville) et un texte de Parvulesco sur l’Axe Paris-Berlin-Moscou :
– Des textes de Michel Marmin, rédacteur en chef de la revue Eléments, qui fut un ami proche et d’Arnaud Guyot-Jeannin :
– Exit Jean Parvulesco par Christopher Gérard, ancien directeur de la défunte et regrettée revue d’études polythéistesAntaios, avec une série d’entretiens et de recensions :
– L’hommage de la revue socialiste révolutionnaire européenne Rébellion :
– Une évocation de Parvulesco par Nicolas Bonnal sur :
Ouvrages cités :
– Le retour des grands temps, Guy Trédaniel Editeur, 1997
– Le soleil rouge de Raymond Abellio, Guy Trédaniel Editeur,1987, et non pas L’assomption de Raymond Abelliocomme je l’ai erronément formulé au cours de l’émission !
– Vladimir Poutine et l’Eurasie, Les Amis de la Culture Européenne, 2005
– Les ouvrages
Dans la forêt de Fontainebleau,
Le sentier perdu et
La confirmation boréale, édités par
les courageuses éditions Alexipharmaque de l’infatigable Arnaud Bordes peuvent être commandés sur le site consacré :
Les auditeurs curieux pourront découvrir un chapitre de
La confirmation boréale, intitulé
Vladimir Poutine et l’Empireeurasiatique de la Fin sur :
http://www.mecanopolis.org/?p=18075
– Jacques Marlaud, Le renouveau païen dans la pensée française, L’Aencre, 288 pages, 27 €
Une recension de la première édition du livre par Robert Steuckers et un entretien daté de 1990 sur :
Son recueil d’articles, Interpellations (Dualpha, 2004) est également hautement recommandable.
Jacques Marlaud anime aussi le site métapolitique
l’Esprit européen qui reprend notamment les articles et les analyses d’une revue du même nom qui a cessé de paraître en 2005 :
http://esprit-europeen.fr/
DVD :
– L’arbre, le maire et la médiathèque, de Eric Rohmer (France,1992), avec Pascal Greggory, Fabrice Lucchini, Arielle Dombasle et… Jean Parvulesco, Les Films du Losange.
Synopsis : Julien Dechaumes est le maire socialiste de Saint-Juire, un charmant petit village de Vendée. Visant les prochaines élections législatives, il réussit à obtenir une subvention du Ministère de la Culture pour doter son village d’une médiathèque. En compagnie de son amie de cœur, l’écrivaine parisienne Bérénice Beaurivage, il rend visite au beau-frère de sa cousine, rédacteur en chef d’un magazine mensuel de gauche intitulé Après-Demain, afin d’obtenir son appui médiatique. À cette occasion, Julien fait la connaissance de la journaliste Blandine Lenoir qui, séduite par sa démarche, décide de lui consacrer un article. Elle se rend à Saint-Juire pour interviewer les habitants et rencontre l’instituteur Marc Rossignol, violemment opposé au projet notamment à cause de l’abattage d’un magnifique arbre centenaire que la construction d’un tel bâtiment entraînerait…
Jean Parvulesco incarne le petit rôle de « Jean Walter » dans un film typiquement rohmérien à propos duquel il est dit sur la page Wikipedia que « Éric Rohmer s’attache à suivre les pas d’un homme politique modeste et honnête, le maire socialiste Julien Dechaumes (Pascal Greggory) qui brandit ainsi son étendard : « Je déteste l’intrigue. […] Si je fais de la politique, c’est pas pour faire comme tout le monde. La politique politicienne, maintenant, c’est terminé. Mais c’est vrai ! Les gens en ont marre des magouilleurs et des beaux parleurs ». Ce n’est pas un battant, mais un gentilhomme campagnard plutôt décalé, pensant que le fait d’équiper son village d’une médiathèque est une idée innovatrice pouvant servir sa carrière.
Le petit cercle médiatique de gauche est plus vrai que nature. La journaliste Blandine Lenoir (Clémentine Amouroux) accomplissant consciencieusement son reportage à Saint-Juire est très crédible tout comme le directeur de rédaction rusé et désabusé Régis Lebrun-Blondet incarné par François-Marie Banier.
On croit avoir déjà vu, au journal télévisé, un instit écolo en colère tel que l’incarne Fabrice Luchini. Quant à l’architecte Antoine Pergola (Michel Jaouen) qui défend son projet par n’importe quel argument, il est tellement vrai qu’il a beaucoup agacé ses confrères.
Mais la palme revient sans doute au portrait de la mondaine et très parisienne écrivaine Bérénice Beaurivage (Arielle Dombasle). Bobo déplacée à la campagne, qui va de surprise en surprise :
- découverte des dindons « incroyables et bien élevés » parce qu’ils répondent aux imitations de leur glouglou auxquelles elle se livre avec Julien,
- comment pousse la salade, car à la ville, elle ne la connaît qu’en pièces détachées ensachées,
- étonnée par les vaches « extraordinaires » avec « l’impression de toucher des animaux préhistoriques », et observant que c’est celle étiquetée 280 qui préfère le persil qu’elle a apporté,
- méconnaissant les moutons : « on n’a pas apporté de pain ».
Le mot de la fin revient à Zoé, la gamine de l’instituteur, qui décrète que ce qui manque surtout dans les villages, ce sont des espaces verts, car, pour jouer, les enfants doivent aller de plus en plus loin dans la campagne… »