Orages d’Acier #36 – « La Beat Generation »

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Ce soir, Fréquence Orages d’Acier vous propose un regard non conforme sur la Beat Generation, un manifeste en rupture avec l’Amérique. L’émission aborde les grandes figures du mouvement – Jack Kerouac,  Alan Ginsberg, William Burroughs – ainsi que l’intérêt qu’il a suscité chez certaines figures de notre famille de pensée, Julius Evola au premier chef. En fin d’émission, l’actualité de la Camisole, la revue de la Droite universitaire.

3 Comments

  1. Veni Vidi Vicious dit :

    excellente émission qui permet de recentrer les réalités sur cette Beat generation que bien trop de gens associent aux hippies.

    bravo

  2. Jazz dit :

    Émission assez approximative…  Ces trois auteurs sont totalement différents. LE point commun entre eux, c’est Neal Cassady, que vous n’avez pratiquement pas mentionné. Le vieux Bukowski quant à lui est complètement en marge de la beat generation et méprisait les beats et n’a jamais eu aucun contact avec eux.

    Vos propos méprisant sur le jazz sont risibles , vous êtes complètement à côté de la plaque … Comment peut-on avoir de tels propos sur le Jazz (Mr.K ) et avoir la programmation que vous avez dans vos émissions (en général du mauvais rock, qui pour votre gouverne, est bien plus « nègre » que le jazz..

    C’est incompréhensible pour tout mélomane qui se respecte. Le jazz est tout autant européen (dans le sens musique dite classique) qu’africain. De plus , le jazz est avant tout une musique d’improvisation, de l’instant , le « IT  » chere à kerouac.

    Ne critiquez pas sévèrement un art dont vous n’avez pas les clés culturel pour le comprendre.

    cela dit, j’aime beaucoup vos emissions 🙂

    salutations de wallonie.

  3. Jazz dit :

    Juste pour clarifier pour les auditeurs :

    Le lien entre le mouvement hippie et beat , c’est neal cassady et ginsbergh (qui est un peu l’opportuniste de la bande) . Kérouac méprisait le mouvement hippie/beatnicks . William burroughs est egalement déconnecté du mouvement hippie et sera redécouvert surtout durant les années 90 .

    concernant les drogues : Kerouac n’était pas vraiment un adepte des drogues (de l’herbe occasionnellement et amphetamine (benzedrine) dans « on the road ». Le junkie c’est burroughs qui était accro aux opiacés. Burroughs a également fait des recherches sur les hallucinogènes (voir dans les lettres de yagé) en amérique du sud.

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