
Orages d’Acier #35 – « Films d’éveil politique »
2 octobre 2016
Revue & Corrigés #11
14 octobre 2016Ce soir, Fréquence Orages d’Acier vous propose un regard non conforme sur la Beat Generation, un manifeste en rupture avec l’Amérique. L’émission aborde les grandes figures du mouvement – Jack Kerouac, Alan Ginsberg, William Burroughs – ainsi que l’intérêt qu’il a suscité chez certaines figures de notre famille de pensée, Julius Evola au premier chef. En fin d’émission, l’actualité de la Camisole, la revue de la Droite universitaire.
3 Comments
excellente émission qui permet de recentrer les réalités sur cette Beat generation que bien trop de gens associent aux hippies.
bravo
Émission assez approximative… Ces trois auteurs sont totalement différents. LE point commun entre eux, c’est Neal Cassady, que vous n’avez pratiquement pas mentionné. Le vieux Bukowski quant à lui est complètement en marge de la beat generation et méprisait les beats et n’a jamais eu aucun contact avec eux.
Vos propos méprisant sur le jazz sont risibles , vous êtes complètement à côté de la plaque … Comment peut-on avoir de tels propos sur le Jazz (Mr.K ) et avoir la programmation que vous avez dans vos émissions (en général du mauvais rock, qui pour votre gouverne, est bien plus « nègre » que le jazz..
C’est incompréhensible pour tout mélomane qui se respecte. Le jazz est tout autant européen (dans le sens musique dite classique) qu’africain. De plus , le jazz est avant tout une musique d’improvisation, de l’instant , le « IT » chere à kerouac.
Ne critiquez pas sévèrement un art dont vous n’avez pas les clés culturel pour le comprendre.
cela dit, j’aime beaucoup vos emissions 🙂
salutations de wallonie.
Juste pour clarifier pour les auditeurs :
Le lien entre le mouvement hippie et beat , c’est neal cassady et ginsbergh (qui est un peu l’opportuniste de la bande) . Kérouac méprisait le mouvement hippie/beatnicks . William burroughs est egalement déconnecté du mouvement hippie et sera redécouvert surtout durant les années 90 .
concernant les drogues : Kerouac n’était pas vraiment un adepte des drogues (de l’herbe occasionnellement et amphetamine (benzedrine) dans « on the road ». Le junkie c’est burroughs qui était accro aux opiacés. Burroughs a également fait des recherches sur les hallucinogènes (voir dans les lettres de yagé) en amérique du sud.