Le site de Radio Méridien Zéro utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible.
Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web. Cela nous permet de comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.
Les courriels ne servent qu'à la transmission de la lettre d'actualité ou prévenir les abonnés d'une nouvelle émission.
2 Comments
« Si Mussolini était conté » de François Brigneau, auto-édition de 2006.
Ce très bel essai de fiction (puisque les personnages ne sont pas fictifs) nous a donné le chagrin de la mort inhumaine du Duce, quelqu’un que le monde entier (pas seulement mes compatriotes) avait mal compris. Nous allons essayer de renverser les malentendus qui circulent encore aujourd’hui sur lui, soixante-treize ans après sa mort barbare. Le Grand Benito Mussolini a été d’abord fusillé par les sales communistes et puis son cadavre pendu par le pied. François Brigneau était un des co-fondateurs du Front National au début des années 70. C’est grâce à lui que nous avons appris qu’il était maçon et socialiste avant de devenir prof de français et puis Dictateur. Nous n’allons pas vraiment écrire une présentation de cet ouvrage vivifiant (puisqu’il nous a donné envie de faire revivre le personnage incompris) mais nous allons vous tirer l’attention sur quelques points oubliés (peut-être) de son parcours important. Sur la page 21 nous lisons : »c’est Mussolini qui lance à Rome le Pacte à quatre pour essayer d’empêcher le réarmement allemand ». Sur la page 60 nous lisons : « Il n’a jamais été antisémite doctrinal, viscéral ou religieux ». Huit pages avant nous avons pu lire : « Nous entrons en lice contre les démocraties ploutocratiques et réactionnaires de l’Occident ». Mais la phrase qui nous a enthousiasmé était quand Brigneau raconte que sa file s’appelait Edda puisque avec cette citation nous avons pu comprendre que le Grand Duce était un Grand Poète puisqu’il voulait que sa famille fasse référence au Grand Poète scandinave Snorri Sturluson et à ses poèmes épiques et fantastiques. Mais malheureusement les sales communistes italiens de 1945 ont piétiné et lynché avec des coups de pieds très forts et inhumains sa sépulture exhibée publiquement pour cette raison. Nous terminons en vous disant que nous avons aussi lu le roman du Duce « La Maîtresse du Cardinal », un roman qui pourrait être taxé comme « anti-chrétien » puisque la parodie anti-religieuse concerne les chrétiens, pas une autre religion.
Et pour faire une référence contemporaine au drame du Grand Duce nous allons citer sur la page 12 Luigi Facta (ex Président du Conseil Ministériel) démissionne et juste après le Roi Emmanuel charge Mussolini de former un gouvernement. La librairie parisienne et proche à nos préoccupations Facta vient de fermer ses portes et cela est très négatif pour nous tous puisqu’elle était une belle librairie pour les lecteurs exigeants.
écrit par Dionysos Andronis
Super émission ! Elle nous avait manqué !