Emission n°297 : « Le social contre la solidarité nationale ? »

Orages d’Acier #48 – « Catholiques identitaires ? »
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Bal sanglant #6
28 janvier 2017

Ce soir, Méridien Zéro vous propose un éclairage sur ce qu’il est convenu d’appeler le « social » par le biais d’un entretien avec un professionnel du secteur. « Augustin » est en effet éducateur social dans une grande association et s’occupe en particulier des SDF. Il constate depuis quelques mois les conséquences désastreuses de l’abandon de ces derniers au profit des migrants clandestins.

A la barre Wilsdorf, à la technique JLR.

13 Comments

  1. jonmosco dit :

    MERCI à l’honnêteté de MZ !

    La défense imposée de Méridien Zéro
    Montre la désunion, réel degré zéro,
    Du peuple de France empêtré dans l’aboiement.
    Quand comprendrions-nous que c’est un châtiment.
    Tant que nous n’accepterons pas, nous errerons
    De part et d’autre d’idées qui nous cloîtrerons.
    Rallions nous au panache innocent de celui
    Qui crie << Je suis la Voie, la Vérité, la Vie. >>

  2. Francisco dit :

     
    En réponse aux mot de la fin de l’invité de la semaine : Comment être vraiment solidaire face au mondialisme ?
     

     
    Il est primordial de retrouver à une charité chrétienne. En tant qu’Européens, païens comme chrétiennes nous partageons des valeurs commune vie à vis de la charité. Aidé les plus démunie sans rien attendre en retour, autre que de l’exigence vis à vis de ceux à que l’on tend la main.
     

     
    Concrètement, il n’y peu y avoir de véritable solidarité dans notre société actuelle, sans sortir de nos condition de citoyen du monde consommateur.
     
    Face à cela il nous faut fuir les grandes métropoles mondialisé, quitté les emplois confortable au service des grandes multinationales. Cesser d’être des consommateur. Investir dans le rural, développer/soutenir des activités et des structures locales.
     

     
    Et seulement là on pourra avoir une réel action social pour tous, en se rassemblent réellement pour proposer une alternative constructive.
     

  3. Tchiiip dit :

    Bravo à JLR pour la remise au point au début de l’émission.

    Sinon émission très intéressante !

  4. Vico dit :

    Une bonne remise au point sur ce que devrait être vraiment le social c’est à dire au service de ceux qui sont vraiment dans la misère et isolés avant de s’occuper des « migrants » qui viennent essentiellement pour des raisons économiques et des immigrés pour les distraire et leurs servir de garderie pour combler leurs carences éducatives. Merci à MZ !

  5. jonmosco dit :

    Merci à MZ et bravo à ce valeureux témoin de ce qu’est la charité

    La charité est consoler les affligés,
    Non point faire des lois, puis faire pleurnicher.
    Ce n’est pas montrer que quelque chose soit fait,
    Ni de vivre sur la bête ou de ses forfaits.
    Avec un prénom de saint père de l’Eglise,
    Augustin est l’acteur de cet Etat en crise.
    Pourquoi n’est-il pas écouté par ses patrons?
    Les résultats sont là! Eh, bande de poltrons,
    Que vous faut-il pour réagir, plus de migrants?
    Nous générons nos pauvres, n’est-ce pas flagrant?
    Pauvreté à être éduqué, duplicité
    De nos vies dans le social, le mot est lancé.

  6. Théodoric dit :

    Très bonne émission,

    Chapeau bas à M. Augustin, un peu « seul contre tous » dans son milieu, associations, collègues, hiérarchie, etc…(des nerfs d’acier à évoluer dans son domaine et avec son positionnement)

    La charité dont le sens est complètement dévoyé, avec les proportions, tel qu’ il le décrit, ça parait surréaliste.

    En fin d’émission, il résume bien ce que sont, pour une grande partie, les milieux sociaux-associatifs, à savoir des mercenaires au service du politique et de « l’idéologie dominante »

    Une personne qui gagna à être connu.

    Bravo MZ & Salutations

     

  7. Zarathoustra dit :

    Salut MZ, je fais remonter un problème.

    Je n’ai pas pu poster un commentaire pendant plus de 3 semaines en recevant ce message merdique : ERREUR: Les commentaires sont temporairement désactivés afin de se prémunir du spam. S’il vous plaît essayez plus tard.

    Aussi, serait-ce possible d’enlever cet immonde « saut de ligne+retour à la ligne » et avoir simplement un retour à la ligne classique? On est vraiment trop demeurés pour vouloir aérer nos commentaires nous-même? J’ai du mal à croire que personne n’ait encore fait cette remarque.

  8. Aryosophe dit :

     

    Superbe… Il fallait qu’à côté des habituels persifleurs « païens » et racialistes (dont je suis), de puissants « poètes » chrétiens puissent s’exprimer. Si avec ça je ne suis pas touché par la grâce…

    Bref. Quelques mots à propos de votre « mise au point », JLR. Au concept de « ligne de crête », je préfère celui de « limes ». Et le fan-club de Bonnet-Soral, abstraction faite de quelques préoccupations communes (et non pas « convergences »), campe bien au-delà du « cercle extérieur ». L’instrumentalisation plutôt grossière de la récente et maladroite saillie « anti-racialiste » de Varg Vikernes, lecteur de Julius Evola, en témoigne. En revanche, lorsqu’il s’agit d’évoquer les choix éditoriaux de l’entité RMZ, les choses sont probablement plus simples qu’il n’y parait. Des sensibilités – parfois très opposées – s’y expriment, non seulement par goût du dialogue contradictoire mais également par refus du « monolithisme » militant considéré, à tort ou à raison, comme stérile. C’est donc plutôt d’un attelage hétéroclite dont il s’agit. J’y trouve le « meilleur », selon mon point de vue, et le plus dispensable, rarement le plus médiocre, ou, pire encore, le plus insupportable.

    Sur le thème que vous avez choisi d’aborder. Le « traitement social » des plus « défavorisés » (guillemets de rigueur lorsqu’on abuse de la « novlangue » !) est un simulacre de solidarité. C’est de maternage thérapeutique dont il s’agit. Votre invité en donne d’ailleurs de nombreux exemples, certains particulièrement sordides. Rappelons qu’il n’y a de « justice sociale » et de solidarité possible qu’au sein d’une même ethnie, source de la plus grande communauté solidaire. Cela signifie que le « social », victime des illusions égalitaires de l’Occident libéral (promiscuité raciale inclus) ne s’illustre désormais plus que dans la gestion à minima des besoins immédiats de quelques asociaux et déclassés de souche euro-boréenne ou à grand renfort d’argent public et de caméras complaisantes (les seins non biodégradables de Pamela Anderson, qui désormais racole dans les Hauts de France, sont-ils « charitables » ?) lorsqu’il s’agit d’immigrants non européens. Ce n’est pas réellement nouveau, certes, mais c’est désormais gravé dans le marbre républicain sans qu’aucune issue ne soit possible. Sinon dans la constitution d’une contre-société identitaire, selon la formule du camarade Feltin-Tracol ou mieux encore dans l’implosion du Système.

  9. Athos dit :

    Toutes les problématiques sont posées, et ce naturellement dans cet entretien-vérité. Comment aider réellement nos compatriotes déclassés ? Comment différencier ceux qui sont incurables (les clochards, dont j’avoue ne pas particulièrement aimer l’image – ni l’odeur – qu’ils renvoient et donnent de la société occidentale à travers le monde, surtout aux yeux des immigrés qui se jettent sur l’occasion d’y voir un des représentants de notre décadence) des plus sains ?

    Personnellement, je pense que la solution d’Augustin est la bonne. Il faut faire un tri dans le lot, choisir les plus jeunes, les moins casse-gueule, leur donner un cadre clair, sur la base d’un contrat à respecter, manière de les responsabiliser. Et puis tout faire pour aider ceux qui sont accidentés par la vie et qui se retrouvent à la rue contre leur gré (situation financière, problèmes de famille).

    A plusieurs reprises, j’ai voulu héberger des jeunes gens chez moi, sans toutefois oser leur proposer concrètement, quand j’ai constaté leur jeunesse et leur état désespéré tout en étant pas non plus complètement dégradée. Je pense vraiment que ces gens, d’abord sain et espérant, quand ils se rendent compte que personne ne fait attention à eux et leur donnent des broutilles, ça les désespère encore plus et ils s’enfoncent littéralement dans la déchéance.

    Une des solutions peut être d’en héberger directement chez soi (plutôt que dans des centres d’accueil bondés et malsains) et leur proposer une co-responsabilité : eux s’engagent à se bouger, à se remettre sur les rails, à s’engager, toi tu t’engages à les aider dans leurs démarches dans la mesure de tes possibilités, avec un soutien moral et amical que tu peux apporter, un peu à la façon d’un frère, d’une soeur ou d’un parrain.

    Finalement, la solidarité, n’est-ce pas se considérer, soi et les siens, comme faisant partie d’une même famille ?

  10. Aloys Durans dit :

    Merci à Jean-Louis pour ce préambule. Le travail de sape de X contre Y ne produit rien. Je suis membre de Terre & Peuple mais je ne comprends pas cet acharnement contre Michel Drac qui réalise un travail colossal et concret aux éditions du Retour aux sources. Je suis racialiste mais trouve inutile de s’acharner contre des hommes d’honneur, intelligents, travailleurs et qui sont de notre côté face à ce Système broyeur d’identités sur le seul prétexte qu’ils appartiendraient à d’autres races.

    Très belle émission, salutaire en ces temps de volonté oligarchique d’éradiquer le Social à grands coups de faux « hommes neufs » comme Macron.

  11. Charles de Batz dit :

    Afin de compléter l’émission, je me permets de donner deux conseils de lecture :
    – « Vivre et penser comme des porcs » de Gilles Châtelet. L’auteur y développe la thèse selon laquelle il existe un choix politique (tacite ou formel, peu importe) concernant la « préservation » des SDF dans leur statuts de clochards. Il s’agirait de développer par l’imposition à la vue de tous de la misère humaine la plus absolue une certaine dose de modération quant aux velléités de changement : « ça n’est pas si dur pour moi finalement, regarde le type là-bas avec son caddie… ». Peu de souvenirs si c’est dit en des termes aussi crûs mais c’est mon souvenir de l’œuvre. Cette thèse, si elle est vraie, explique le deux-poids-deux-mesures observés entre les « migrants » et les clochards en défaveur des derniers.

    – « Névrose psy » d’Alain Valterio. Particulièrement à propos de la culture de l’excuse dont parle Augustin à un moment. Ce livre est une étude pratique sur ce que l’auteur appelle la « psyrose » et qui remplace le Surmoi formé grâce au Père freudien par un Psy. Cette culture sécrétée par l’absorption d’une culture psychanalytique freudienne dévoyée proviendrait des milieux para-médicaux et s’infiltrerait d’abord à l’école puis dans toutes les sphères de la société. L’auteur est relativement connu en Suisse parce qu’il a subi une pétition demandant son exclusion de son travail (c’est le psy qui répond dans la rubrique appropriée sur le site d’un groupe de supermarchés suisses). Il avait répondu « Mange sale gamine ! » à une anorexique qui lui sortait son baratin scientifique pour justifier son trouble. Une interview du bonhomme à lire dans le n°162 d’Elements, par votre serviteur.

    Amitiés à l’équipe et aux auditeurs.

  12. Charles de Batz dit :

    Erratum : il ne s’agit nullement de « Vivre et penser comme des porcs » mais de « Le sang nouveau est arrivé » de Patrick Declerck (rapport au commentaire précédent.

  13. rp dit :

    Bonjour,

    Je voudrais savoir s’il serait possible d’obtenir le contact d’Augustin, il y a un SDF en bas de chez moi que j’aimerais aider. Je suis pas de la DSGT ou je ne sais qui hein !? Merci à vous, c’est assez urgent.

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