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15 Comments
Interessant,meme si je n’aime pas le personnage.
Ayant ete un abruti dans sa jeunesse a l’instar d’autres types de l’Inner Circle en Norvege dans les annees 90,il a depuis evolue.
Mais dans une video de E&R postee sur Facebook le 20 janvier par le groupe Baise Ma Hache,il attaque les identitaires et les patriotes en les assimilant tous a des debiles 88.
Il dit des verites tout en melangeant volontairement un peu tout.
Il est mahonnete.
Attention, l’émission n’est pas avec Varg Vikernes mais sur son livre et l’univers spirituel qu’il évoque. On peut renvoyer les auditeurs au dernier Réfléchir & Agir également.
Ironie volontaire ou inconsciente? Sur le flayer annonçant cette émission, la photographie servant de font décoratif est celle de motifs scandinaves sculptés dans le bois… d’une vieille « stavkirke » ( église en bois debout ) norvégienne…; vous savez, du genre de celles que Kristian Vikernes dans le passé aurait incité dans certains de ses écrits à bruler, soit-disant pour venger les lieux paiens qui auraient été détruits il y a fort longtemps par les chrétiens en Scandinavie!… Ce n’est pas en prison ( pour le meurtre d’un de ses collègues « métalleux »; ha! Certaines musiques n’adoucissent pas les moeurs, semble-t-il…), et mieux que dans un asile psychiatrique, mais cloitré avec des moines dans une abbaye pendant autant de temps que « Varg » aurait du aller! 😉 Mais espérons que le contact avec la Nature et les réalités brutes l’aura remis sur une meilleure voie!… Attendons donc l’écoute de l’émission pour en connaitre plus et mieux sur la pensée profonde et réelle du « personnage »,… et gare au trollage; ça va y aller dur!!! 🙂
La saillie « anti-racialiste » de Varg n’a semble t-il pas été comprise. Enfin, si j’en crois les réactions d’une poignée de handicapés de l’intellect ! En lecteur – certes un peu pataud – de Julius Evola, Varg rappelait seulement qu’être Européen par le sang ne suffisait pas à désigner l’homme européen. Car encore lui faut-il accepter son héritage, encore lui faut-il adhérer aux principes structurants de l’âme européenne non encore souillée (parmi lesquels l’héroïsme tragique face au destin ou encore le consentement viril à la mort glorieuse, etc.) et donc chercher à réconcilier race du corps et race de l’esprit. Et parmi ces Européens, les premiers d’entre eux, les identitaires intégraux, les racialistes, les opposants radicaux au Système à broyer les peuples ! Voilà ce qu’il fallait comprendre et voilà pourquoi les danseuses du ventre soraliennes ont cru pouvoir instrumentaliser ses déclarations. Bref. Bien qu’isolé et aussi peu actif qu’un « militant » du Front ex-National, Varg n’est définitivement pas un ennemi politique. Loin s’en faut…
Enfin si notre néo-corrézien n’est incontestablement par régis Boyer ou François-Xavier Dillmann, son témoignage autour de l’odinisme mérite que l’on s’y attarde. C’est celui d’un homme sur la voie de la différenciation, enraciné, conscient de ses singularités. Le paganisme- bien que « reconstitué » – est vécu, dans son cas, comme une libération. C’est un pas de plus vers la restauration de l’Occident dans l’esprit aryen originel. A l’échelle d’un seul homme. Alors sans doute cela peut-il paraitre « baroque » mais lorsqu’il s’agit de se débarrasser, si cela est encore possible, de la toxine sémite, c’est dans notre mémoire la plus longue (et donc la plus fidèle) que nous devons chercher les outils (et les armes) dont nous avons besoin. Pour le reste, je crois pouvoir dire que son statut d’icône du Metal Noir norvégien et son pedigree de « meurtrier néo-nazi » (sic) n’intéresse guère plus que les adolescents attardés et les journalistes les plus médiocres…
C’était une bonne émission édifiante grâce aux intervenants qui ont parsemé les deux heures de moult références et qui, en guise de préambule, ont fait une petite mise en garde à propos du monde de l’université contemporaine : véritable panier de crabes et de délateurs.
Le cas individuel de Varg Vikernes demeure anecdotique durant l’émission mais le sujet de la civilisation germano-nordique est central car nous sommes tous des francs ! Nous avons échappé à la musique rock dite « Black Metal » : quel soulagement ! La vrai musique européenne est classique.
Une émission qui fait plaisir à écouter et qui fait honneur à MZ ! Je m’attendais à entendre Varg lui-même mais on peut comprendre qu’il souhaite qu’on le laisse tranquille.Même s’il y a eu des phases de recherche dans sa vie, celles-ci ont toujours été animées par ce feu Hyperboréen (bien rare soit dit en passant chez les militants FN). On peut évidemment critiquer tel ou tel aspect de son parcours mais au moins il a toujours incarné ses idées jusqu’au bout malgré les risques. Et c’est authentique écologiste.
Désolé d’indisposer nos amis Catholiques et/ou souverainistes, mais le Christianisme est bien un métissage culturel et spirituel au plus haut point et la France (surtout moderne) est une construction administrative. Entre un néo-païen un peu maladroit voire même post-moderne et par exemple un membre de Civitas, c’est le premier qui malgré tout incarne le mieux l’âme de l’Europe. Varg avait dit il y a plusieurs années que la culture européenne contemporaine était comme une eau boueuse – le devoir de chaque Européen était alors de purifier celle-ci. Ce travail devant se faire en soi puis autour de soi.
Amités Boréennes.
Très bonne émission avec pas mal de pistes et références à fouiller !
Merci d’avoir dit dès le début que le livre n’était pas si facile d’accès, sa lecture m’ayant causé quelques soucis ! 🙂
Les livres cités par les intervenants en fin d’émission :
– « Edda » traduite par FX Dillmann.
– « Eden » d’Anton Parks
– « Les Berserkir : Les guerriers-fauves dans la Scandinavie ancienne »… de Vincent Samson
– « Viking Language : Lean Old Norse »… de Jesse Byock
@ Stefan : Le Black Metal est le type de Rock/Metal le plus Européen qui existe. Son energie et sa grandeur empreinte beaucoup au classique d’ailleurs…
J’ajoute qu’il y a, dans cette religiosité völkisch incontestablement pérenne et à laquelle notre néo-corrézien est attaché, des fragments de la tradition nordico-occidentale que nous devons nous engager à réactiver. Non pour nous livrer à d’inoffensives « tolkienneries » mais parce qu’elle demeure le « véhicule » de la race. Merci donc à RMZ pour cette évocation, loin des médiocrités franco- républicaines, de la « Lumière du Nord » !
Merci Julien d’avoir pris le temps de répertorier les références bibliographiques.
Amities.
W.
@ Julien du Saulnois
Je préfère une musique enracinée dans l’histoire européenne depuis des siècles : de la France à la Russie en passant par l’Allemagne et et l’Autriche et sans oublier les pays d’Europe centrale. Rien ne vaut le magnifique Sacre du Printemps d’Igor Stravinsky : sous-titré Tableaux de la Russie païenne en deux parties.
Wilsdorf fait bien de préciser que l’ouvrage ne s’adresse pas aux néophytes. L’ayant précommandé, en soutient aux Rubicon et à Varg pour l’essentiel, j’ai eu bien du mal à fissurer son côté hermétique, hormis au premier chapitre. Saluons la qualité de l’édition, joliment illustré!
Merci pour cette intéressante émission; surtout qu’en France on insiste lourdement sur notre latinité en faisant encore trop l’impasse, à tord il me semble, sur notre germanité incontestable, pour les raisons historiques que l’on sait, sans aucun doute… Mais ces temps là s’avèrent, espérons le, de plus en plus révolus, et une « réunification culturelle » de la France (et de l’Europe?) semble possible dans les temps à venir, grâce notamment aux nouvelles générations désencombrés du poids des guerres passées (les fameux « Boches ») et du conformisme culturel (enfin pour un certain nombre d’entre-eux..).
Ceci étant dit, si vous pouviez me renseigner sur le nom du groupe et de la chanson qui est passée en premier, ce serait bien agréable… l’on dirait du Wardruna, je me trompe?
Bonjour,
J’ai beau avoir de l’estime pour l’oeuvre musicale de M. Christian Vikernes, je dois reconnaitre que je suis abasourdi par la faiblesse de ses propos quand il m’arrive de les entendre via youtube. Je note en passant qu’il est assez lamentable que cette individu ne parle toujours pas francais, apres tant d’annees vecues ici, marie a une Francaise qui plus est. Le premier meteque venu ferait bien mieux. Comme quoi la race ne fait pas tout, ainsi que le remarquait fort lourdement l’interesse dans une recente « analyse ».
J’ai du mal a croire que ce fabricant de jeux de roles (parait-il) puisse dire quoi que ce soit d’interessant sur le sujet essentiel et fascinant de nos ancetres indo-europeens et de leur traditions.
@Olfrec…. Merci pour votre message ! Il s’agit effectivement de Wardruna avec Faun. Le titre du morceau « Odin » !
Amicalement.
Wilsdorf.
Voici la petite bibliographie promise à l’antenne :
Pour des premiers pas dans les terres brumeuses du Nord :
En version histoire incarnée :
Mabire, Jean, Légendes de la mythologie nordique, réed. L’Ancre de Marine, 2010
En version plus universitaire (pardon àVarg…):
Dillmann, François-Xavier, l’Edda, récits de mythologie nordique, Nrf, 1991.
Pour les plus jeunes, plutôt que de subir les contes et légendes vikings de Fernand Nathan, dans la série « mythologies » dirigée par…Claude Aziza :
Kevin Crossley-Holland, La bataille de Thor et autres légendes vikings chez Folio junior, Gallimard Jeunesse, 2011.
Pour approfondir le sujet :
Régis Boyer, Mythes et religions scandinaves, Riveneuve éditions, 2012.
Un mélange d’articles dont un chapitre d’hommage à Dumézil en forme de coup de pied de l’âne, évoqué à l’antenne.
Mabire, Jean, Thulé, le soleil retrouvé des Hyperboréens, éditions Pardès, [1977] 2002.
Une quête historique, géographique et spirituelle de Maître Jean, un classique.
Samson, Vincent, Les Bersekirs, les guerriers-fauves dans la Scandinavie ancienne, de l’âge de Vendel aux Vikings ( VIè-XIè siècle), Presses universitaires du Septentrion, 2011.
L’édition remaniée de sa thèse soutenue en 2008, inspirée et très complète de la fureur des guerriers d’Odin.
Enfin, pour les échanges « multiculturels » dans l’Europe charnelle ancienne, on peut lire le Beowulf et vérifier- ou découvrir- que le chef d’œuvre de la littérature anglo-saxonne pourrait très bien passer pour une saga scandinave, tant le fond y est identique. En version bilingue et à petit prix, avec une très fine traduction d’André Crépin :
Beowulf, traduction d’André Crépin, coll. Lettres Gothiques, Livre de poche.
Merci au commentateur qui a déjà retranscrit les bouquins pour moi, je me couvre la tête de cendres !
Et merci à tous ceux qui nous ont appris que le bouquin de Varg Vikernes n’était pas d’un accès facile. Une introduction à la mythologie nordique et ses connections européennes fournira peut-être le thème d’une prochaine émission MZ..
Clément 1 – Ô Tène